Aventure dans le métro #7
8 heures 45
Tel un zombie, je me dirige par automatisme vers mon wagon de métro. Ayant passé la nuit debout et étant complètement claqué, je décide d’écraser mon cul sur un des bancs libres, de prendre mon guide sur Hawaii et de continuer la planification de mon futur voyage.
Deux stations plus tard.
Les portes s’ouvrent laissant place à deux beaux spécimens.
Je vous laisse imaginer une des deux personnes :
Pantalons de lycra noir ULTRA moulants.
Souliers à talons plate-forme de douze pouces directement sortis de star-treck
Un foulard tuyau en fourrure léopard.
Une camisole trouée noire recouverte d’un chandail filet blanc.
Des bas troués passés dans les avant-bras
Une couche de maquillage tellement épaisse que je n’aurais pas fait mieux en appliquant le tout avec un pinceau quatre pouces trempé dans un galon de Sico rose bonbon.
Tellement de mascara que je ne comprends toujours pas comment ses cils ne restaient pas soudés ensembles.
Bref, une vraie chick Ste-Cath – St-Laurent.
(Je n’ai rien contre la mode vestimentaire, mais celle-là dépassait nettement toutes les limites !).
Elle s’assoit, avec son amie, tout juste à côté de moi. Conversations de ‘tites filles prépubaires, rire de deux niaiseuses aussi allumées qu'un 2X4, gestuelle de bitches (désolé, je ne ménage pas mes mots !).
Je vous le dis, ça respirait l’intelligence.
Je crois qu’une perce-oreille ne se serait même pas sentie humilié face à ces deux filles là.
Enfin, jusque-là, à part les trouver insignifiantes, elles ne me dérangeaient pas le moins du monde. Avoir l’air fou sans faire suer le peuple, ce n’est pas la fin du monde...
Jusqu’au moment ou Miss Sico décide de mettre son verre de café PLEIN en équilibre sur son banc.
Tout seul. Comme ça ! Sans lui porter attention. Un orphelin sur le banc qui attend impatiemment le moment de ...
Bin oui!
CAFLOUSHHHHHHHHHH !
iBen se retrouve sur le chemin d’une belle vague d’eau brunâtre pleine de caféine. Par chance, ayant anticipé le coup, j’ai TOUT JUSTE le temps d'enlever mes jambes du chemin. Mon sac, lui, n’a pas eu la même chance.
Trempé de fond en comble.
Je suis déguisé en banquier et je dois trimbaler un sac À DOS totalement imbibé de café. Pas besoin de vous dire à quoi ressemblait ma chemise lorsque je suis arrivé au bureau.
Les seuls mots que j’ai eu en excuses furent un : Oups ! suivis d’un petit rire innocent entre-elles.
Je les aurais assassinées drette-là.
Par chance, juste avant d’arriver à destination, la brillante perce-oreille a réussi à échapper sa queue de léopard... DANS LE CAFÉ !
Joie dans mon coeur !
Tel un zombie, je me dirige par automatisme vers mon wagon de métro. Ayant passé la nuit debout et étant complètement claqué, je décide d’écraser mon cul sur un des bancs libres, de prendre mon guide sur Hawaii et de continuer la planification de mon futur voyage.
Deux stations plus tard.
Les portes s’ouvrent laissant place à deux beaux spécimens.
Je vous laisse imaginer une des deux personnes :
Pantalons de lycra noir ULTRA moulants.
Souliers à talons plate-forme de douze pouces directement sortis de star-treck
Un foulard tuyau en fourrure léopard.
Une camisole trouée noire recouverte d’un chandail filet blanc.
Des bas troués passés dans les avant-bras
Une couche de maquillage tellement épaisse que je n’aurais pas fait mieux en appliquant le tout avec un pinceau quatre pouces trempé dans un galon de Sico rose bonbon.
Tellement de mascara que je ne comprends toujours pas comment ses cils ne restaient pas soudés ensembles.
Bref, une vraie chick Ste-Cath – St-Laurent.
(Je n’ai rien contre la mode vestimentaire, mais celle-là dépassait nettement toutes les limites !).
Elle s’assoit, avec son amie, tout juste à côté de moi. Conversations de ‘tites filles prépubaires, rire de deux niaiseuses aussi allumées qu'un 2X4, gestuelle de bitches (désolé, je ne ménage pas mes mots !).
Je vous le dis, ça respirait l’intelligence.
Je crois qu’une perce-oreille ne se serait même pas sentie humilié face à ces deux filles là.
Enfin, jusque-là, à part les trouver insignifiantes, elles ne me dérangeaient pas le moins du monde. Avoir l’air fou sans faire suer le peuple, ce n’est pas la fin du monde...
Jusqu’au moment ou Miss Sico décide de mettre son verre de café PLEIN en équilibre sur son banc.
Tout seul. Comme ça ! Sans lui porter attention. Un orphelin sur le banc qui attend impatiemment le moment de ...
Bin oui!
CAFLOUSHHHHHHHHHH !
iBen se retrouve sur le chemin d’une belle vague d’eau brunâtre pleine de caféine. Par chance, ayant anticipé le coup, j’ai TOUT JUSTE le temps d'enlever mes jambes du chemin. Mon sac, lui, n’a pas eu la même chance.
Trempé de fond en comble.
Je suis déguisé en banquier et je dois trimbaler un sac À DOS totalement imbibé de café. Pas besoin de vous dire à quoi ressemblait ma chemise lorsque je suis arrivé au bureau.
Les seuls mots que j’ai eu en excuses furent un : Oups ! suivis d’un petit rire innocent entre-elles.
Je les aurais assassinées drette-là.
Par chance, juste avant d’arriver à destination, la brillante perce-oreille a réussi à échapper sa queue de léopard... DANS LE CAFÉ !
Joie dans mon coeur !
6 commentaires:
Moi je leur aurait dit ma façon de penser!!!
Grrrrrrrrr!
Moi je leur aurait dit ma façon de penser!!!
Grrrrrrrrr!
Moi je leur aurait dit ma façon de penser!!!
Grrrrrrrrr!
Une chose est certaine: elles auraient rencontré mes hormones de femme enceinte ces deux là!
Amour, t'as le droit de te choquer des fois!
Honnêtement, je ne sais pas comment tu as fais pour ne pas te fâcher!! T'es pas mal bon!
je hai le transport en comun =/
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